responsable : Nicolas Dissez
L’exercice du trait du cas vise à identifier ce qui fait la singularité de chaque cas, à la faveur de la lecture structurale d’une présentation clinique, transcrite au plus près de la parole d’un patient et de celui avec qui il s’entretient.
Dans le fil de nos dernières Journées Annuelles, nous nous attacherons à cerner plus particulièrement en quoi les questions posées par nos patients psychotiques peuvent rencontrer le réel touché du doigt par un analyste au terme de sa propre cure… comme les effets de cette rencontre.
responsable : Eva Marie Golder
responsable : Edouard Bertaud
Le cas de M. Le savant et la question de l’opération clinique nous avaient déjà amené l’année dernière à lire des extraits de l’Ethique de la psychanalyse liés à la fraternité, au Nebenmensch et à la seconde mort. Nous souhaitons cette année le lire dans son intégralité.
Quelques années après ce séminaire, Lacan résumera dans Télévision l’éthique de la pratique analytique en un « devoir du bien-dire ». Est-ce là une réponse possible à la question : « Qu’attendre du psychanalyste dans le champ des psychoses ? »
Responsable : Dominique de Quay
Responsables : Cyrille Deloro & Luc Sibony
Responsable : Sabine Chollet
Dans la leçon inaugurale de l’éthique, Lacan nous enjoint de lire ou relire Malaise dans la civilisation « comme une œuvre absolument essentielle… à laquelle nous devons donner toute son importance et tout son poids… pour autant que c’est à l’homme, à une demande humaine de toujours que nous avons dans notre expérience la plus quotidienne à faire ».
C’est donc avec ce « malaise dans la culture » que nous entamerons cette année un temps de relecture de textes de Freud ; textes toujours choisis en lien avec les questions qui nous occupent.
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Cyrille Deloro, Luc Sibony et quelques autres...
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C'est le temps et l'espace de la séance qui orienteront nos recherches l'année prochaine. Faut-il écrire espace-temps avec ou sans trait d'union ? Est-ce une seule et même « Chose » au sens freudien ? La névrose est-elle une diplopie, une disjonction, une désintrication de l'espace et du temps ? Notre hypothèse, que je formulerai ainsi, en me référant à l'un des derniers textes de Freud1, c'est que ce qu'on attendrait d'un analyste serait la construction, au sens de Freud donc, de l'espace et du temps. La construction dans l'analyse relève très explicitement, selon Freud en 1937, de la responsabilité de l’analyste.L a topologie est le temps a pu dire Lacan,(pourquoi écrire « la topologie et le temps, : que nous apprend la psychose à ce propos ?
sur inscription uniquement
Eva-Marie Golder
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Elsa Caruelle-Quilin, Ilaria Pirone et quelques autres...
INSCRIPTIONS : jtyszler@mgen.fr
Claude Gavarry
Nous poursuivons la lecture du séminaire sur l’Identification de Lacan en prenant en compte les apports de Marcel Czermak dans Acting-out et passage à l’acte pages 25,26. qui met en place 3 autres identifications en plus de celles de Freud (Essais de psychanalyse p.127 Payot)
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